"Parcours Croisés" - Suite - Chapitre 31
Parcours croisés Vendredi
Chapitre 31
Jonathan
Je nai pas très bien dormi ; il faisait chaud, même en laissant la fenêtre ouverte, et puis depuis hier, jai un peu mal, malgré la pommade que ma donnée Nelly. On doit retourner chez sa tante aujourdhui, cet après-midi ; je retrouverai Nelly sur un banc dans le parc. Tout ce matin je me suis ennuyé, dhabitude je dors tard quand je ne travaille pas, mais pas moyen de rester au lit. Je suis allé à la laverie avec mon sac de linge et jai attendu, 2 heures à rien faire, juste regarder tourner les machines, deux heures à memmerder. Je suis rentré à une heure à lappart, et jai mangé un peu, même pas faim
jai rangé les habits et la vaisselle : jai bien vu que Nelly avait trouvé que cétait minable et sale chez moi, quand elle est venue me chercher hier ; elle reviendra sans doute plus, mais on sait jamais
jai bien compris quelle me trouvait pas à son goût et quelle veut me voir uniquement chez sa tante, mais on sait jamais
ça les épaterait tous si cétait ma copine
sauf Christophe peut-être, lui, il serait en colère, je crois, que je sois avec la copine de son fils ; il trouverait ça un peu louche, un nigaud comme moi avec elle
elle est trop mignonne, et intelligente aussi, pour être avec moi.
Jai attendu sur un banc, à lombre, en guettant Nelly. Je lai vue arriver de loin, habillée comme dhabitude, avec sa jupe plissée et une chemise blanche quelle boutonne jusquen haut. Elle sest arrêtée en face de moi, et ma dit bonjour, sans sapprocher, et elle est partie devant. On a marché sans parler jusque chez sa tante. Elle a ouvert avec sa clé et a refermé derrière nous. Sa tante était dans lentrée, les bras croisés ; elle ma fait un signe de la tête quand je lui ai dit bonjour et elle a embrassé Nelly sur le front :
- Cest bien, vous êtes à lheure ! Suivez-moi !
On la suivie jusquau fond du couloir ; elle a poussé la porte en face de celle de sa chambre en nous faisant signe dentrer :
- Je vous laisse vous préparer, rejoignez- moi dans le salon quand vous serez prêts !
Et en montrant la table au milieu de la pièce :
- Noubliez rien !
Sur la table, il y avait un grand plateau avec tout un tas de matériel dessus ; des instruments emballés dans du plastique, des compresses.
- Quest-ce quil y a Nelly ?
- Rien ! Tais-toi sil te plaît ! Déshabille-toi !
Elle ma regardé faire sans rien dire, bras croisés, tout le temps que je me suis déshabillé, et elle a pris les deux gros anneaux qui étaient posés à côté du plateau avec la petite clé ; elle les a dévissés pour les ouvrir en deux. Quand jai été nu, elle ma dit de mapprocher et de masseoir au bord du tabouret. Elle sest mise à genoux entre mes jambes :
- Prends tes couilles dans ta main et tire vers le bas
tire plus bas
Elle a mis la moitié du premier anneau dessous, a posé lautre moitié par-dessus et a revissé pour quelles tiennent ensemble :
- Lâche-les
Elle a pris lanneau dans une main en tirant vers le bas assez fort pour me faire mal, et avec lautre main elle a tiré sur la peau tout le tour pour la faire remonter au-dessus de lanneau. Mes couilles étaient très serrées dessous et la peau très tendue. Après, elle a fermé lautre anneau au-dessus du premier ; le diamètre était plus petit que lautre ; elle a coincé un peu de peau dedans en le refermant et en vissant. Elle sen est aperçue quand jai crié et elle a recommencé en repoussant la peau avec un doigt ; cette fois, ça me pinçait plus et elle a vissé à fond. Elle a fait couler du gel sur les anneaux et les a fait remonter tous les deux pour laisser plus de place à mes couilles :
- Tu ne bandes pas aujourdhui ?
- Tu mas fait mal
et puis hier aussi
- Tu saignes encore ?
derrière ?
- Plus beaucoup
- Fais voir
Je me suis tourné. Elle ma fait pencher sur le tabouret et en écartant mes fesses, elle a passé du gel sur mon cul et un peu dedans aussi en rentrant son doigt :
- Pourquoi tu me mets du gel ? Elle va encore vouloir aujourdhui ?
- Regardes sur la table
A côté du plateau, il y avait un sexe en caoutchouc noir, bien imité, mais plus gros
pas mal plus gros que le mien en tout cas :
- Cest peut-être pour toi
- Et peut-être pour toi !
tu commences à aimer ça, on dirait
Ce nétait pas de voir le gode
cétait ses doigts sur mes fesses, je commençais à bander un peu
Nelly sest mise toute nue aussi ; elle a pris le plateau, moi le gros gode et le gel, et on est allés au salon rejoindre sa tante.
Elle nous attendait sur le canapé, juste en culotte en en sous-pull noir :
- Posez tout ça sur la table !
Elle est allée jusquà la table et elle a enfilé un gant en caoutchouc sur la main gauche quelle a tartiné de gel :
- Jonathan, allonge-toi sur le tapis
Nelly, mets-toi sur lui
caresse-le !
Nelly sest mise à cheval sur moi, au-dessus de ma tête et elle a commencé à me branler. Sa tante a enfilé un espèce de harnais en cuir qui tenait un gros gode devant, comme si elle avait une bite, aussi grosse et aussi longue que celui que javais amené de la chambre du fond et quelle avait posé entre mes jambes quand je métais allongé. Elle sest mise derrière Nelly et la caressée un peu avec son gant, juste au-dessus de mes yeux, et elle a commencé à lui rentrer le gode dans la chatte en le tenant avec ses deux mains. Au début elle narrivait pas à le rentrer, il se pliait, mais Nelly sest penchée plus en mettant sa joue sur mon ventre et là, il rentré plus loin. Je sentais les cheveux de Nelly contre moi et son souffle sur mon ventre et je bandais plus fort, même si elle avait arrêté de me branler ; elle tenait juste mes couilles dans une main, et elle les serrait un peu entre ses doigts. Au bout dun moment, sa tante a arrêté de la baiser avec son gode et sest reculée pour le sortir :
- Prends ses jambes sous tes bras !
Nelly sest relevée et ma soulevé une jambe après lautre ; elle a passé ses bras au dessus, décollant mon cul du tapis, et elle a posé le bout du gode sur mon petit trou. Avec le gel dessus, ça faisait froid ; elle na pas essayé de le rentrer. Elle sest reculée un peu sur ses genoux et en les écartant plus, elle a mis son sexe sur ma bouche pour que je la lèche. Jai vu sa tante se rapprocher au-dessus de moi et essayer de lui mettre son gode entre les fesses. Nelly sest mis à pousser le gode dans mon cul en même temps que sa tante poussait aussi. Jétais tout serré, ça me faisait mal, et Nelly arrivait pas à le rentrer ; je faisais exprès de serrer fort les fesses pour lempêcher.
- Bientôt, mes chéris, bientôt
Elle a retiré sa main et elle est partie.
- Viens te laver !
- Pourquoi elle a dit « bientôt » ?
-
bientôt elle mettra toute sa main
dedans
On sest lavés sous la douche. Quand on a été propre et essuyé, Nelly est restée longtemps assise sur la baignoire, sans bouger, et puis elle a pris le rasoir à lame et elle a rasée un peu sa chatte. Ses poils avaient pas trop repoussé, pourtant ; je crois surtout quelle navait pas envie de sortir ; elle pleurait encore en rinçant le rasoir dans le lavabo. Elle sest assise sur les toilettes pour faire pipi, le menton appuyé sur une main ; cette fois elle avait plus seulement des larmes, elle sanglotait, et elle ma pas repoussé quand jai mis mon bras sur ses épaules, agenouillé à côté delle. Au contraire, elle a appuyé sa tête contre la mienne. Elle sest essuyée et on sest relevé ensemble. Je lai serrée dans mes bras ; cette fois non plus, elle ma pas repoussé, et ma fait un petit sourire timide, les yeux pleins de larmes quand je lui ai fait une bise sur la joue. En sortant de la salle de bains, elle serrait ma main très fort.
- Enfin ! Jallais venir vous chercher !
Elle avait tiré la table basse, couverte dun drap, collée en face du grand fauteuil. Elle a fait allonger Nelly sur la table, les pieds posés sur les accoudoirs du fauteuil. Nelly avait les jambes grandes ouvertes et protégeait son sexe sous ses deux mains. Le plateau avec les ustensiles emballés était sur la grande table. La lampe de bureau, posée sur le fauteuil entre les jambes de Nelly, éclairait ses mains.
Elle ma fait asseoir sur la table derrière Nelly, sa tête relevée appuyée sur mon ventre :
- Prends ses seins dans tes mains, et toi, enlèves tes mains
tiens toi à lui !
Nelly a relevé ses bras en arrière, se cramponnant à mes bras. Elle avait la chair de poule, ses jambes tremblaient un peu, et ses seins étaient durs sous mes mains.
- Caresse-lui les tétons, ça la détendra peut-être !
Jai trouvé quelle avait un petit sourire méchant en disant ça, elle se moquait de Nelly. Jai fait rouler ses tétons entre le pouce et lindex, mais ils ne grossissaient pas beaucoup. Sa tante me regardait faire en secouant la tête ; elle a repoussé mes mains et a pris les tétons entre ses doigts, sen servant pour soulever les seins et les secouer assez fort. Quand elle les a lâchés, les pointes étaient plus longues et plus dures et jai recommencé à les rouler entre mes doigts. Sa tante a enfilé une paire de gants blancs en caoutchouc très fins, et avec une compresse et un produit marron, elle a nettoyé tout le sexe de Nelly, et puis elle a recommencé avec une autre. Elle a posé une glace grossissante contre le fauteuil entre les jambes de Nelly :
- Ouvre les yeux, Nelly, je veux que tu regardes !
Elle a pris un sachet fermé sur le plateau et nous la montré :
- Je vais commencer par ces deux-là, sur les petites lèvres
je tai déjà expliqué, tu ten souviens ? Réponds-moi ! Tu ten souviens ?
-
oui
- Bien !
Entre deux doigts, elle a pris ensemble les deux petites lèvres de Nelly et les a étirées très fort vers le bas, et puis de lautre main, avec comme un rayon feutre, elle a marqué deux points, un sur chaque petite lèvre. Elle a déchiré trois sachets sur le plateau : un avec une aiguille, un anneau, et une pince qui ressemblait à un ciseau avec deux trous ronds en bas. Elle a entouré un élastique autour des branches, a pris une petite lèvre entre ses doigts et fermé la pince dessus en vérifiant que les trous étaient bien en face avec sa marque. Sans lâcher la pince, elle a pris laiguille derrière elle, a regardé Nelly :
- Ne bouge pas !
Elle a planté laiguille. La peau sest étirée un peu et puis elle a traversé en sortant de lautre côté. Nelly a planté ses doigts dans mon bras en raidissant sa nuque, mais elle na pas crié. Sa tante a retiré laiguille en laissant un petit tube à travers le trou percé, a coupé lembout et retiré sa pince. Elle a pris un petit anneau ouvert, et la poussé à travers le trou en repoussant le petit tube. Nelly sest encore raidie plus fort quand elle a mis lanneau que quand elle avait percé avec laiguille. En tenant lanneau, sa tante a fermé louverture par une petite boule et a encore nettoyé avec plusieurs compresses. Ça saignait presque pas, moins que jaurais cru.
- Alors ? Pas si terrible, nest-ce pas ? Tu te vois bien ?
à lautre, maintenant !
Et elle a recommencé de la même façon sur lautre petite lèvre. Nelly a juste poussé deux petits gémissements en serrant les dents.
- Redresse-toi un peu ! Regarde-toi dans la glace !
Jai aidé Nelly à sasseoir ; sa tante a jeté tous ses ustensiles et les compresses dans une poubelle.
- Lève-toi Nelly ! Il faut que tu sois debout pour marquer le dernier !
Assise sur la petite table et Nelly debout devant elle, elle a à nouveau nettoyé avec son produit marron et plusieurs compresses et puis en présentant un autre anneau devant son sexe, elle a fait une autre marque de crayon, sur une grande lèvre. Nelly appuyait son dos contre moi en me tenant les mains :
-
il a lair plus gros
- Il lest ! Cest du 2, les autres cétaient du 1,2 ! Viens voir !
Elle nous a montré le plateau en déchirant les sachets :
- Celui-ci, on le pose avec cette aiguille qui sert de guide ! Le même type daiguille que pour les tétons !
Cétait creux et ça ressemblait plus à un tube aiguisé en biseau très pointu quà une aiguille, ça paraissait énorme ! Nelly me serrait les doigts très forts et ne quittait pas le plateau des yeux.
- Je ten poserai un second sur lautre lèvre, mais pas aujourdhui
un autre jour ! Tiens, Jonathan, regarde ça !
Elle ma tendu un paquet de feuille dimprimante :
- Nelly, regarde aussi, tu maideras à choisir !
Jai feuilleté les images : des piercings sur des sexes dhommes
jen avais déjà vus sur internet, mais là, dimaginer sur mon sexe après que je lai vue faire sur Nelly, cétait différent
Je regardais les images, et à un moment, jai vu quelle me regardait, quelle regardait mon sexe qui se redressait. Nelly a baissé les yeux aussi, a essuyé dun doigt le petit filet de mouille qui pendait au bout de mon gland. Elle me souriait et sa tante souriait aussi :
- Tu ne tenfuies pas, Jonathan ? Regarde encore
regarde bien
Elle a fait réinstaller Nelly sur la petite table et la nettoyée à nouveau avec des compresses, a fermé le clamp sur sa lèvre en le serrant fort, en tirant et en tournant pour regarder à lintérieur et à lextérieur pour vérifier quil était bien où elle voulait, et elle a pris le tube aiguille :
- Je ne veux pas tentendre ! Cest compris ?
pas un seul cri !
Même serrée par le clamp, la lèvre semblait épaisse à traverser, beaucoup plus que les petites lèvres qui étaient fines comme de la peau quand elles les avaient étirées. Elle a posé laiguille en face dun il du clamp et la appuyée un peu avec son index :
- Respire fort
et ! Ne ! Crie ! Pas !
Elle a poussé fort avec son index. Jai vu la chair sétirer de lautre côté du clamp à travers le trou de lautre côté ; ça ma paru long
Nelly serrait les dents très fort et tout son visage était crispé. Ses mains me faisaient mal à serrer mes bras
et laiguille est ressortie, dépassant de deux centimètres des deux côtés de sa lèvre. Sa tante a tout de suite posé lanneau contre le trou du tube et la enfilé en faisant sortir laiguille. Sur le bout qui avait traversé, elle a vissé une petite bille, et puis elle a posé des compresses pour éponger le filet de sang qui coulait. Nelly tremblait ; les bras, le ventre, les jambes, elle tremblait de partout, et de grosses larmes coulaient de ses yeux.
En continuant à la nettoyer avec des compresses, sa tante a passé son doigt dans sa fente, et a frotté son index sur son pouce :
- Mais dis-moi
tu mouilles ! Eh ! Regarde-moi ça Jonathan
Du doigt elle me montrait le clito de Nelly, relevait le capuchon de peau du bout de lindex
son clitoris palpitait, sabaissait et se relevait
Nelly était en train de jouir
Nelly est restée un long moment allongée sur la table, les jambes en lair. Sa tante a posé des compresses avec du scotch sur sa lèvre quand elle a arrêté de . Je suis resté avec elle tout le temps en lui tenant la main pendant que sa tante nettoyait tout et débarrassait le plateau. Elle ma dit daller me rhabiller dans la chambre du fond, que Nelly resterait plus tard que moi aujourdhui. Elle ma suivi dans la chambre pour me retirer les anneaux que javais encore :
- Reviens demain après-midi, vers 14h00 ; nattends pas Nelly, elle sera déjà là !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!